La référence la plus ancienne qui m’a inspirée des « cacos » ou caquinhos apparaît dans le récit de voyage de Jean Baptiste Debret (1768-1848), qui décrivait, en 1826, un cercle de tambours et de chants composé d’esclaves africains autour d’une fontaine, sur une place de la ville de Rio de Janeiro, alors capitale de l’Empire brésilien.
Debret rapporte que des « éclats de vaisselle » étaient utilisés dans les tambours, ainsi que d’autres objets sonores pour accompagner les chants. Ces « caquinhos » se sont ensuite répandus dans la société brésilienne. Le revêtement de sol en caquinhos rouge, populaire depuis les années 1940, est un héritage historique de São Paulo. Antoni Gaudí a influencé l’utilisation de céramiques brisées, symbolisant la résilience et la transformation face aux adversités de la vie.
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